" Mais quelle blancheur ? Tout d'abord la page blanche : pas celle qui limite ou même bloque l'auteur, non. C'est la blancheur qui est la source de l'inspiration, celle qui offre toute l'étendue des possibles. Aérés, espacés, les vers laissent une place à cette blancheur, une place pour l'imagination de l'artisan poète et des lecteurs/lectrices. S'ensuit un intermède à l'entrelacs des saisons. Ici, la Nature inspire, est un terreau fertile pour le poète, et les saisons sont en pleine mutation, comme par exemple l'hiver qui n'est plus tout à fait fini alors que le printemps lui, n'a pas tout à fait commencé. La troisième partie du recueil est consacrée à la nuit, ou plutôt les nuits blanches, fruits de bien des inspirations poétiques. En conclusion, Sylvain Jules a écrit des vers libres, habités de musique, de nature, et d'inspiration bien sûr. Très belle lecture ! "
Auteur de poésie à ses heures perdues.
Trois recueils auto-édités: "Écueils de poésies", "Musiques en acrostiches", "Les Fables O" disponibles sur amazon en version brochée ou électronique et voilà le quatrième intitulé "Saisons - haïkus, tankas, monostiches" (sorti le 23.10.2024)